Chauffeurs et propriétaires d’automobiles

​​​​​​​​Un formulaire de vérification sommaire permettant d’assurer la conformité aux articles 55 et 59 de la Loi sur le transport rémunéré de personnes par automobile est maintenant disponible. L’utilisation de ce formulaire n’est pas prescrite. L’édition et l’impression de celui-ci sont libres de droit, tout comme son adaptation numérique.​​​​​​​​​​​​​​​​​​

​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​La Loi concernant le transport rémunéré de personnes par automobile (RLRQ, c. T 11.2)​ prévoit que ce mode de transport doit être réalisé par un chauffeur qualifié au moyen d’une automobi​le qualifiée. ​​​

Deux choix s’offrent à une personne qui souhaite devenir chauffeur qualifié et effectuer du transport rémunéré de personnes par automobile. Elle peut :​​​

Les deux statuts accordent des droits différents pour la pratique du métier de chauffeur rémunéré de personnes par automobile. Il est de votre responsabilité de vous informer pour déterminer le statut qui vous convient.​​​

Dans le premier cas (chauffeur autorisé), le chauffeur peut effectuer du transport rémunéré de personnes par automobile de façon autonome ou être en lien avec un répartiteur.

Dans le deuxième cas (chauffeur inscrit), le chauffeur doit répondre aux conditions de pratique établies par le répondant, de même qu’aux obligations de la Loi.

Souvent, le chauffeur qualifié est également le propriétaire de l’automobile qualifiée qu’il utilise pour offrir et effectuer le transport de personnes. Mais puisque la location d’une automobile qualifiée demeure possible, les règles et obligations qui engagent le propriétaire ont été distinguées dans les rubriques ci-dessous.​​​

Une personne peut être simultanément autorisée par la SAAQ et inscrite auprès d’un ou de plusieurs répondants.

Le propriétaire qui rend disponible une automobile qualifiée à un chauffeur qualifié doit s’informer, auprès de la Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail (CN​​ESST​), de ses obligations à l’égard de cette personne en vertu de la Loi sur les accidents du travail et les maladies professionnelles (RLRQ, c. A-3.001).

​Chauffeurs qualifiés​

Conditions à satisfaire par les nouveaux candidats pour devenir un chauffeur qualifié

Outre les frais exigibles, les exigences légales à satisfaire pour se qualifier sont similaires pour les personnes qui choisissent une autorisation délivrée par la SAAQ (chauffeur autorisé) et pour celles qui font le choix de s’inscrire auprès d’un répondant d’un système de transport (chauffeur inscrit).

Les conditions, qui sont présentées à l’article 10 de la Loi, se résument ainsi :

  1. Être titulaire d’un permis de conduire de classe 5 depuis au moins 12 mois.
  2. Être titulaire d’un permis de conduire qui n’a pas été suspendu ou révoqué au cours des 12 ​derniers mois et qui n’est pas assorti de la condition de conduire un véhicule routier muni d’un antidémarreur éthylométrique.
  3. Avoir terminé avec succès la formation de base portant notamment sur la sécurité et le transport des personnes handicapées.
  4. Avoir obtenu un résultat supérieur à la note de passage à l’examen, qui est de 75 %.

    Mesure transitoire concernant la formation de base obligatoire

    Entre le 10 octobre 2020 et le 9 janvier 2021, une personne pourra être autorisée par la SAAQ comme chauffeur même si elle n’a pas suivi avec succès la formation de base. Cette personne aura jusqu’au 10 janvier 2021, au plus tard, pour transmettre à la SAAQ le document attestant qu’elle a suivi avec succès cette formation (r. 1, art. 117).

  5. Être en mesure de comprendre, de parler et de lire le français. La vérification de ces compétences est réalisée au moyen de la formation et de l’examen, qui sont offerts exclusivement en français.
  6. N’avoir aucun des antécédents judiciaires liés aux aptitudes requises et au comportement approprié d’un chauffeur d’une automobile pour offrir du transport de personnes (Vérification des antécédents judiciaires).

Les modalités et la liste des pièces à fournir pour obtenir une autorisation de chauffeur sont présentées sur le site de la SAAQ (Demande d’autorisation – SAAQ).

La liste des répondants ayant le droit d’inscrire des chauffeurs est présentée sur le site de la Commission des transports du Québec (Liste des répondants – CTQ). Chacun des répondants est libre d’établir des exigences supplémentaires pour inscrire un chauffeur à son système de transport.

Exception

Les chauffeurs inscrits auprès d’un répondant qui offre exclusivement des services de covoiturage, comme ils sont définis dans la Loi (Covoiturage), ne sont pas tenus de satisfaire aux exigences ci-dessus (art. 151 de la Loi).

Dispositions encadrant la pratique du chauffeur qualifié

​Sollicitation excessive​

Il est interdit à tout chauffeur qualifié et à quiconque d’adopter tout comportement susceptible d’importuner ou d’intimider une personne qu’il sollicite en vue de lui offrir un service de transport rémunéré de personne par automobile ou de continuer de la solliciter d’une façon persistante malgré son refus ou l’absence de réponse. Il est notamment interdit de la suivre, de gêner son déplacement, de la toucher, de toucher ses biens ou même de tenter de le faire, de la menacer ou de l’injurier.

Vérification sommaire quotidienneAu début de chaque période de travail, le chauffeur qualifié est tenu de procéder à la vérification sommaire de son automobile et de remplir le rapport à cet effet (art. 65 et 66 du Règlement​). Il doit conserver ce document avec lui dans l’automobile (art. 55 de la Loi).
(Formulaire de vérification sommaire ​– à venir)​
Vérification mécanique et avis de défectuosité mécanique​

S’il constate une défectuosité, le chauffeur doit rédiger un avis de défectuosité mécanique (r. 1, art. 73) dont il doit transmettre copie (avec preuve de transmission) au propriétaire de l’automobile (Loi, art. 59​) ainsi qu’au répondant du système de transport, s’il y a lieu (Loi, art. 69), et conserver une copie avec lui, jusqu’au moment où un mécanicien certifié lui remet un rapport attestant que la réparation a été effectuée selon les règles de l’art (Loi, art. 60). Il doit alors conserver ce rapport (Loi, art. 59) ainsi que le plus récent certificat de vérification mécanique avec lui dans l’automobile (Loi, art. 56) ou s’assurer que ces documents sont accessibles aux inspecteurs par l’entremise d’un moyen technologique (Loi, art. 62).

Il est interdit au chauffeur d’utiliser une automobile accidentée, malpropre, défectueuse ou faisant l’objet d’un rappel du fabricant, ou lorsque le plus récent certificat de vérification mécanique indique une défectuosité majeure qui n’a pas été réparée. La réparation d’une défectuosité mineure doit être effectuée à l’intérieur de 48 heures (Loi, art. 58).

C’est le propriétaire de l’automobile qui est responsable de respecter le calendrier de vérification mécanique de l’automobile qualifiée.

Installation et retrait de chacun des accessoires fournis par la SAAQ et le répondant​

Avant d’offrir des services de transport, le chauffeur est tenu d’apposer, en bas à droite de la lunette arrière, l’accessoire gouvernemental permettant de déterminer si l’automobile est utilisée pour effectuer du transport rémunéré de personnes (Loi, art. 56). Cette obligation ne s’applique pas si l’automobile est équipée d’un lanternon (Loi, art. 145).

 

Tout comme le lanternon devrait être éteint, ces deux accessoires doivent être retirés de leur position dès lors que l’automobile qualifiée n’est pas utilisée pour offrir du transport rémunéré de personnes (r.1, art. 56).

La SAAQ dispose d’un délai allant jusqu’au 6 décembre 2020 pour transmettre l’accessoire gouvernemental au propriétaire d’un véhicule inscrit. Le propriétaire d’une automobile réputée autorisée (liée à un permis de propriétaire de taxi le 9 octobre 2020) qui se départit du lanternon tout en continuant à offrir du transport de personnes avec son automobile devra acheter l’accessoire gouvernemental dans l’un des points de service de la SAAQ.

Affichage du document d’identification avec photo​​Le chauffeur doit afficher à la vue des passagers soit son permis de chauffeur (Loi, art. 63), soit un document avec photographie permettant de l’identifier au système de transport pour lequel il réalise la course (Loi, art. 67​). Dans ce dernier cas, le document peut être remplacé par un affichage numérique visible en permanence ayant la même fonction (Loi, art. 48.).
Tarification et facturation​

Le chauffeur est tenu d’appliquer le mode de tarification convenu et conforme au moyen utilisé par le client pour transmettre sa demande de course.

Si le prix est convenu au moyen d’un contrat, les parties ne peuvent pas le modifier en cours de route (r. 4, art. 3). Si le prix maximal d’une course a été convenu au moyen d’une application numérique, le client ne peut pas demander que le chauffeur utilise un taximètre, même si cet appareil est présent dans l’automobile (Loi, art. 146​).

Un reçu comportant le nom du chauffeur, la date, le montant de redevance et le montant total de la course doit être remis à chaque client qui en fait la demande, par le chauffeur ou, si la course a été demandée par une application, par le répondant (r. 1, art. 13, 6 et 85).

Inscription au fichier de la taxe de vente du Québec​

​Tout chauffeur qualifié doit être inscrit au fichier de la taxe de vente du Québec (Revenu Québec). Il doit tran​smettre annuellement une déclaration même si la taxe de vente est prélevée et transmise à Revenu Québec, en son nom, par le répondant.

Les exploitants d’une entreprise de taxi au sens de la Loi sur la taxe de vente du Québec (ce qui inclus les chauffeurs inscrits auprès d’un répondant te​​l Uber) sont assujettis à la facturation obligatoire dans le domaine du TRPA. Pour plus d’information, consultez la section « Entreprise » du site de Revenu Québec.

Protection et cotisation à la CNESST

Un chauffeur qualifié ayant un statut de travailleur à la CNESST est protégé automatiquement par le régime d’assurance de la CNESST en cas de lés​ion professionnelle​. Pour ses travailleurs, l’employeur doit payer une cotisation à la CNESST. Lors d’un accident du travail, ce régime s’applique avant celui de la SAAQ.

Toutefois, un chauffeur qualifié dont le statut est celui de travailleur autonome à la CNESST doit souscrire à une protection perso​nnel​le​ et payer une cotisation s’il désire être protégé par la CNESST.

Le travailleur autonome qui désire souscrire à une protection personnelle doit s’informer directement auprès de la CNESST.

Pour obtenir des informations supplémentaires à ce sujet, contactez la CNESST au 1 844 838-0808.

​Autorisation pour offrir des services de transport à partir de certains lieux désignés

​Certains points de départ désignés par règlement de la ministre exigent que le chauffeur qualifié y soit détenteur d’une autorisation à y prendre des passagers et à utiliser les espaces d’attentes dédiées aux automobiles qualifiées. Les modalités de cette autorisation et son prix sont déterminés par le responsable du lieu tandis que la forme de l’autorisation doit être conforme au modèle prévu par règlement de la ministre.

Cette disposition adoptée le 30 mai 2023 (article 56.2; RLAQ, chapitre 10​) sera effective à l’entrée en vigueur d’un règlement à cet effet.

Si le chauffeur inscrit est également le propriétaire de l’automobile utilisée pour réaliser du transport de personnes, il assume aussi les responsabilités du propriétaire d’une automobile qualifiée.

Des exigences supplémentaires s’appliquent aux chauffeurs autorisés qui conduisent une automobile de taxi​.

Des exigences complémentaires peuvent être imposées aux chauffeurs inscrits par le répondant d’un système de transport.

Chauffeurs autorisés

Le contenu qui suit résume les conditions de maintien ou d’obtention de l’autorisation délivrée par la SAAQ ainsi que les modèles d’affaires qui s’offrent au chauffeur autorisé.

Le chauffeur autorisé doit utiliser une automobile autorisée par la SAAQ pour effectuer du transport rémunéré de personnes.

Le chauffeur autorisé peut choisir entre différents modèles d’affaires :

  • être entièrement autonome et recevoir lui-même les demandes de course;
  • faire affaire, en tant que travailleur autonome, avec un répartiteur enregistré qui répartit les demandes vers des chauffeurs autorisés;
  • travailler à salaire ou à commission pour le compte d’un emp​loyeur qui exploite une entreprise de transport de personnes par automobile. Cet employeur assume alors les responsabilités du répartiteur.

Tous les modèles d’affaires permettent d’offrir différents services de transport de personnes par automobile, notamment :

  • un service de taxi (automobile munie d’un lanternon et d’un taximètre);
  • un service dont la tarification est déterminée par contrat (p. ex. : limousine ou trajet longue distance);
  • un service de transport de personnes joint par application mobile.

    C’est l’équipement dont est munie l’automobile qui distingue un taxi des autres automobiles qualifiées. Ce qualificatif de « taxi » donne droit aux privilèges qui sont accordés aux taxis. Ce statut vient aussi avec certaines obligations précises.

  • Une automobile autorisée munie d’un lanternon et d’un taximètre est un taxi (Loi, art. 144 et r. 1​). Ce statut dicte :
    • l’obligation d’accepter une course de moins de 50 kilomètres ou dont le point de départ est situé à moins de 50 kilomètres du territoire desservi (r. 1, art. 81);
    • l’obligation de calculer le prix des courses conformément aux tarifs et aux modalités établis par la Commission des transports du Québec (CTQ) (Loi, art. 92 et r. 1, art. 72; Loi, art. 97 et r. 4) (voir la section Tarification);
    • l’exclusivité des courses demandées par téléphone ou hélées dans la rue ainsi que l’usage des stations de taxis (Loi, art. 147);
    • que seuls les taxis peuvent être retenus pour les contrats municipaux de transport adapté (Loi, art. 265 et 269) ainsi que pour les contrats de transports médicaux pour effectuer ces transports par automobile (Loi, art. 148).
  • Une automobile qualifiée non munie d’un lanternon et d’un taximètre peut être utilisée pour répondre exclusivement aux demandes suivantes :
    • une demande de course transmise par une application mobile qui permet à la personne qui demande la course d’en connaître par écrit le prix maximal et d’y consentir avant que le chauffeur qualifié soit informé de la demande;
    • une demande de course dont les modalités sont définies et consignées dans un contrat papier ou numérique, ratifié par les deux parties, avant que le chauffeur se présente au point d’embarquement. Un texto ou un échange de courriel peut satisfaire à cette exigence, tout comme une application plus sophistiquée mettant en relation un chauffeur précis et un client.

Dispositions transitoires applicables aux personnes qui, le 9 octobre 2020, étaient titulaires d’un permis de chauffeur de taxi

La personne qui, au 9 octobre 2020, était titulaire d’un permis de chauffeur de taxi (« pocket ») n’a aucune démarche à faire d’ici le 10 octobre 2020 et peut continuer à conduire une automobile autorisée après cette date.

Elle devra renouveler son permis de chauffeur autorisé​ auprès de la SAAQ, à la date d’échéance de son permis de chauffeur de taxi.

  • La personne qui, le 9 octobre 2020, était titulaire d’un permis de chauffeur de taxi (pocket) émis par la SAAQ ou par le Bureau du taxi de Montréal (BTM) est réputée être un chauffeur autorisé en vertu de la nouvelle Loi.
  • Le « pocket » demeure valide jusqu’à sa date d’échéance. Il doit toujours être affiché bien en vue dans l’automobile au moment où celle-ci est en service.
  • Dans les jours précédant la date d’échéance de son permis de chauffeur de taxi, la personne qui souhaite renouveler son autorisation de chauffeur devra prendre rendez-vous et se présenter à la SAAQ pour une prise de photo et la vérification de ses antécédents judiciaires.
  • Les informations pour renouveler le permis de chauffeur autorisé​ sont présentées sur le site de la SAAQ.

Dispositions transitoires applicables aux personnes qui, le 9 octobre 2020, étaient titulaires d’un certificat d’aptitude

La personne titulaire d’un certificat d’aptitude délivré par le BTM en vertu du Projet pilote concernant le permis et la formation de certains chauffeurs effectuant du transport rémunéré de personnes sur l’île de Montréal (c. S-6.01, r. 2.01)​ est, le 10 octobre 2020, réputée être un chauffeur autorisé.

Cependant, pour maintenir son statut de chauffeur autorisé en vertu de la Loi, elle doit, avant le 10 janvier 2020, fournir à la SAAQ les pièces nécessaires à la vérification de ses antécédents judiciaires.

Conditions à satisfaire pour un nouveau chauffeur

Outre le paiement des frais à la SAAQ, les exigences légales à satisfaire pour se qualifier ainsi que les documents à transmettre sont les mêmes pour les personnes qui choisissent une autorisation délivrée par la SAAQ (chauffeur autorisé) que pour celles qui font le choix de s’inscrire auprès du répondant d’un système de transport (voir la section Chauffeurs qualifiés​).

Chauffeurs ins​crits

La liste des répondants autorisés à inscrire des chauffeurs est disponible sur le site de la Commission des transports du Québec (CTQ)​.

Le répondant d’un système de transport détermine les paramètres des services de transport de personnes par automobile qu’il souhaite offrir à la clientèle, le type d’automobile (taxi, limousine, automobile adaptée, automobile électrique, etc.) qu’il choisit d’inscrire au système de transport ainsi que les modalités tarifaires que les chauffeurs inscrits doivent appliquer parmi celles prévues à​ la Loi.

Conditions à satisfaire pour l’inscription d’un nouveau chauffeur

Les exigences légales à satisfaire pour s’inscrire auprès du répondant d’un système de transport sont les mêmes pour les personnes qui choisissent de déposer une demande d’autorisation auprès de la SAAQ (voir la section Chauffeurs qualifiés​).

Cependant, chacun des répondants est libre d’exiger des conditions contractuelles supplémentaires pour inscrire un chauffeur. Un répondant pourrait, par exemple, imposer un code vestimentaire, un code comportemental ou un type d’automobile ou exiger l’exclusivité de la prestation de service de chauffeur à son endroit. Le contenu du contrat liant le répondant aux chauffeurs inscrits n’est pas régi par la Loi concernant le transport rémunéré de personnes par automobile.

Propriétaires d’automobiles qualifiées

Voir la page Automobiles​

Questions et réponses

Un chauffeur qualifié peut-il louer, à la semaine ou au mois, une automobile pour effectuer du transport de personnes par automobile?

  • Oui, un chauffeur qualifié (autorisé ou inscrit) peut louer une automobile si celle-ci est autorisée par la SAAQ ou inscrite auprès du même répondant que le chauffeur. Le propriétaire de l’automobile est alors responsable de répondre aux obligations qui lui incombent en matière d’équipements, d’entretien et de vérification mécanique, notamment.

Existe-t-il un modèle officiel de contrat de location de véhicule qualifié (convention de garde)?

  • Les autorités gouvernementales n’ont pas rendu disponible de modèle de contrat de location d’une automobile qualifiée. Il est suggéré de vous adresser à un conseiller juridique pour la préparation d’un tel contrat afin de vous assurer qu’il couvre toutes les dimensions légales de cette transaction et vous protège adéquatement en cas de litige.

Avis de mise en garde

Le libellé des textes de loi et des règlements applicables prime en tout temps le contenu de la présente fiche. Celle-ci constitue un résumé informatif sur le nouvel encadrement légal du transport rémunéré de personnes par automobile qui est entré en vigueur le 10 octobre 2020.​